Aujourd’hui c’est le 16 juillet. J’ai mesuré ce jour. Dix pieds et 3/4, il fait. Trois mètres 28. Ce jour est un grand jour.
Ça fait six mois que je blogue.
Ce « POP – Pschhhhhhh » que vous venez d’entendre est une gracieuseté de La Veuve Cliquot. Non, mais, on est p’têt pas technoflashy, icitte, on se contente p’têt humblement d’un design gratuit de WordPress, on se gosse p’têt ben une entête à la main ‘ec un vieux toutou pis une bouteille de gin, mais on sait vivre. Tendez votre verre. Come on, pas de chichis. C’est du virtuel: alcooliques anonymes, femmes enceintes ou qui allaitent, pilotes automobiles, chirurgiens en train d’opérer, vous et moi à’ job, tout le monde peut boire.
Santé! Cheers! Salud! Prost!
Maintenant, si vous voulez bien diriger votre attention vers moi et loin du buffet: j’ai besoin de votre avis. Oui m’ssieurs dames. Le rouge aux joues, l’œil flou, la voix forte et l’humeur badine – voire, affectueuse – à cause du champagne, je fais de nouveau le pari du billet interractif.
J’aimerais recueillir vos préférences au sujet de cette drôle de tribune que je me suis octroyée par un soir trop froid et trop noir. Je suis une vraie démocrate à tous les six mois et un tyran sans merci le reste du temps. Alors profitez-en, avec toute votre joyeuse désinhibition due aux bulles. Chers convives, ma question est la suivante:
Qu’est-ce que vous préférez comme type d’élucubrations sur ce blogue?
Aimez-vous mieux:
Quand je vous envoie jouer dans d’autres plate-bandes?
Quand j’explore le monde fascinant du touttechno?
Quand je dissèque l’actualité à l’aide d’un bistouri nouveau genre qui porte la marque de lubies diverses?
Quand je commets de la fiction (ou des accès de réalité shinée et revampée)?
Quand je sonde les passionnantes profondeurs de mon ravissant nombril?
Quand je pars à déconner like there is no tomorrow?
Quand je critique les innombrables évènements mondains auxquels je m’invite?
Quand je partage d’autres trucs brefs inclassables?
Quand je forme ma djeule?
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Merci de vot’vote. J’ai bien hâte de voir. Et je suis contente de ne pas être obligée de vous tordre un bras et de vous culpabiliser en évoquant tous les habitants de l’Arabie Saoudite, de la Corée du Nord et de l’Ouzbékistan qui aimeraient tant se prononcer au sujet d’un si beau blogue mais qui ne peuvent pas, hélas.